Il y a, dans cette histoire, des rêves d’enfance contrariés, des choix que l’on fait, de
la responsabilité et de la joie, quand on dépasse enfin avec audace tout ce qui nous tracasse.
« Ferdinand eut une belle vie, pleine de cadeaux et de soucis, une vie à son image à lui, unique et excentrique. Il redevint le petit garçon doux, rêveur et bienveillant qui n’avait plus besoin de se dissimuler, de faire semblant, qui avait compris que c’était lui qu’il devait commencer par aimer pour exister vraiment. »