Valérie Lepez Baranger

Valérie Lepez Baranger
Valérie Lepez Baranger

Je raconte mon univers, qui je suis, les gens que je croise, mes pensées.

Je vis et travaille à Saint Jean de Luz, au Pays Basque, entourée de mon chat, de mes 3725 plantes et de mon chéri, de mes enfants et de mes amis. C’est un peu tout ce dont j’ai besoin dans la vie. Autodidacte, j’ai décidé, à presque 50 ans, de faire enfin ce qui me plaît vraiment : écrire et dessiner, parce que, petite, quand on me demandait ce que je voulais faire quand je serai grande, je répondais « écrivain ». Alors, pour la petite blondinette que j’étais, écrire des histoires illustrées, c’est presque déjà le début du succès.

Valérie Lepez Baranger

Avant ça, j’ai fait des études éclectiques, des petits boulots pas toujours sympathiques, je suis devenue maman de deux garçons beaux gentils et intelligents (si si, vraiment). Et puis j’ai été décoratrice, animatrice, divorcée, déçue, amoureuse, « c’est compliqué », désespérée, remotivée et tout cela m’a donné des idées, des idées à dessiner et des histoires à raconter.

Mes histoires

Valérie Lepez Baranger

Et mes histoires, elles sont un peu bizarres, pas évident de les classer, de les référencer, un peu comme moi vous me direz. A travers elles et les personnages que je crée, je raconte mon univers, qui je suis, les gens que je croise, mes pensées.

Mes histoires, elles parlent à tous ceux qui, petits ou grands, ont du mal à entrer dans les cases, à trouver leur place dans le monde, à se sentir à la hauteur.

Elles parlent de la différence et de nos prétendues incompétences, de ce que l’on croit et de ce que l’on n’ose pas et de toutes les fois où l’on se ment.

Elles parlent de nos travers, de nos noirceurs et de nos peurs. De nos réussites, de nos rires et de nos joies.

Elles parlent de fleurs, d’arbres et de vent.

Elles parlent de secrets, d’amour, de silences.

Elles parlent d’humanité, tout simplement.

Valérie Lepez Baranger

Alors laissez-moi vous prendre par la main et vous emmener dans mon univers, guidé peut-être par la petite voix de votre enfant intérieur, un furtif instant, loin de nos perspectives de grands.